Dans cet article, je vais te donner toutes les clés pour pouvoir reconnaître facilement un fumeur de joint. Quels signes physiques et comportementaux, quels profils types, quels impacts négatifs de cette consommation et quels risques dans le cas d’une addiction, je te détaille tout.
Comment reconnaître un fumeur de joint ?
Voici les principaux signes qui permettent de reconnaître aisément un fumeur de joint :
- Les yeux rouges et/ou les pupilles dilatées
- Lenteur dans les mouvements, voire somnolence
- La bouche sèche
- Des cernes marqués
- Une odeur marquée sur les vêtements et les doigts
- Peut-être à la défensive ou au contraire rire sans raison
Quelles sont les caractéristiques d’un consommateur de cannabis ?
Les symptômes de la consommation de THC sont généralement plus visibles chez les adolescents, même s’il n’est pas toujours simple d’être sûr. Chez les fumeurs réguliers, c’est parfois un peu plus difficile, certains ne présentent presque aucun signe notoire.
C’est pourtant la consommation régulière de cannabis qui pourrait poser des problèmes et donc que l’on souhaite pouvoir repérer. Voyons donc quels sont les comportements d’un fumeur de joint et quels accessoires peuvent révéler l’usage de cannabis.
Graine de Lascars
Les aspects physiques
Le principal signe physique c’est probablement les yeux d’un fumeur de joint. Les yeux rouges sont souvent associés à la consommation de cannabis, même s’ils peuvent être dus à d’autres facteurs. D’ailleurs, il est intéressant de savoir qu’aujourd’hui, il existe des gouttes pour cacher cet effet secondaire.
La bouche sèche est un autre des symptômes récurrents. Fumer du cannabis donne soif et assèche la bouche, encore plus que la cigarette.
L’apparition de cernes est un autre point que l’on peut prendre en compte. Il faut tout de même reconnaître que les cernes peuvent être dus à beaucoup d’autres facteurs. Il est important de contempler ce facteur dans un contexte global.
Le cannabis peut provoquer la dilatation des pupilles tout comme la consommation d’autres drogues comme l’alcool ou la cocaïne.
La peau terne ou grisâtre est un symptôme commun de la consommation de cigarettes ou de cannabis.
Les produits Graine de Lascars vont bientôt sortir ! Si tu me connais un minimum, tu sais que je ne blague pas avec la qualité.
Rejoignez + de 3'000 inscrits pour être prévenu de la sortie des produits!
Votre e-mail sera utilisé seulement par Graine de Lascars. Vous pouvez lire ma Politique De Confidentialité.
La dernière des alertes à prendre en compte est l’odeur. Si tu perçois régulièrement une odeur d’herbe sur la personne que tu suspectes, tu peux en déduire qu’elle consomme ou qu’elle est en contact direct avec une personne qui consomme de la weed ou du CBD. Car oui, le CBD a la même odeur et la même apparence.
Les signes comportementaux
Une fois que tu as pu détecter un, ou de préférence plusieurs, des signes physiques précédemment cités, il faut regarder aussi au niveau du comportement. Là encore, il y a des indices qui peuvent te permettre de te poser des questions. C’est bien sûr la coïncidence de plusieurs critères qui te donnera raison ou non sur tes soupçons.
Voici une liste des comportements d’un fumeur de joint, note toutefois qu’ils ne sont pas tous forcément dus à l’usage du cannabis :
- Des sautes d’humeur, de l’irritabilité, voire de l’agressivité
- Des réactions proches de la paranoïa
- Un air détendu, voire « je-m’en-foutiste »
- Un état de somnolence ou de lenteur
- Une mémoire défaillante
- Une élocution accidentée
- Une perte d’appétit
Les accessoires typiques qui dévoilent un consommateur
En plus du tabac et des feuilles slim qui sont essentielles pour rouler, les fumeurs de joints peuvent être en possession de certains accessoires qui sont typiques. C’est le cas des grinders, des pipes ou des bangs. Les plus assidus auront peut-être même des boites de rangement et des plateaux à rouler.
Attention tout de même, la plupart de ces accessoires peuvent aussi être utilisés pour fumer du CBD et n’indiquent donc pas forcément que la personne fume du THC.
Le profil et l’identité type d’un consommateur de cannabis
Un consommateur de cannabis n’est pas une personne complètement « perchée » ou dépravée. Santé Publique France indique dans un rapport de 2020 que plus de 5 hommes sur 10 a déjà testé le cannabis durant sa vie et presque 4 femmes sur 10. Plus encore, 1 personne sur 10 a consommé du cannabis en 2021.
Tu imagines bien qu’ils ne sont pas forcément tous à écouter du reggae toute la journée en mettant des fleurs dans leurs cheveux et en faisant des bracelets aux couleurs vert, jaune, rouge. Halte aux a priori !
On connait donc tous au moins une personne qui a déjà fumé un joint, que ce soit un voisin, un ami, un collègue de bureau ou même un membre de la famille. Ce qui est important, c’est de pouvoir détecter une consommation régulière qui pourrait être signe d’une addiction.
Amnésia 2.0
Les signes distinctifs qui permettent de les reconnaître
Un adepte de la fumette peut avoir n’importe quel style et n’importe quel âge. Le style rasta ne signifie pas forcément que l’on consomme du cannabis, au contraire, le fait d’être en costard cravate n’empêche pas de se rouler un joint une fois chez soi.
Il existe toutefois quelques signes distinctifs qui peuvent nous permettre de détecter l’usage de cannabis. Ce sont principalement les caractéristiques physiques, comportementales et la possession des accessoires que je t’ai mentionnées juste avant.
Quels sont les impacts du cannabis sur un consommateur ?
En soirée de temps en temps ou pour une occasion particulière, fumer un joint n’aura pas un impact plus important que boire un verre. Là où cela peut commencer à poser un problème, c’est lorsque la consommation est régulière. Même Charles Baudelaire ou Morgan Freeman ont fumé des joints de temps en temps.
Les effets néfastes sur la santé
Le THC peut par bien des égards avoir des impacts négatifs sur la santé. C’est un psychotrope qui peut entraîner une dépendance physique ou psychologique telle que l’anxiété et la dépression. Sur le long terme, cela peut causer des maladies respiratoires, des troubles psychiatriques et même le cancer du poumon.
On sait aussi que la consommation régulière de cannabis peut avoir un impact négatif sur le système immunitaire, mais aussi engendrer des problèmes cardiovasculaires.
Par ailleurs, le consommateur peut immédiatement ressentir des troubles de l’attention, de la perte de coordination, de l’insomnie, une diminution de la pression artérielle et de l’irritabilité.
Double Zéro
L’addiction au cannabis et les signes pour la repérer
Tu l’auras compris, ce n’est pas forcément la consommation d’un joint de temps en temps qui cause problème. En revanche, l’addiction est un problème sérieux qu’il ne faut pas prendre à la légère. Une liste de signes a été dressée par une association de médecins (le Diagnostic and Statistical manual of Mental Disorder) et peut t’alerter.
En France, 7 % des adolescents de 17 ans pourraient être dépendants ou avoir un usage problématique du cannabis et 3 % des 18-64 ans. Cela concerne donc plus spécifiquement nos jeunes, or c’est aussi à cette étape de la vie que les dégâts sont les plus importants.
Si une personne présente au moins deux des onze signes définit par l’Association Américaine de Psychiatrie (APA), alors on peut envisager une dépendance au cannabis :
- Le besoin impérieux et irrépressible de fumer un joint
- La perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la consommation de cannabis
- La dépense d’un temps considérable pour la recherche de cannabis
- La présence de syndrome de sevrage, à savoir l’ensemble des symptômes provoqués par l’arrêt brutal (irritabilité, colère, faim, transpiration, compensation)
- L’impossibilité de remplir ses obligations
- L’usage malgré les risques physiques
- Les problèmes sociaux ou personnels
- Volonté de diminuer les doses sans y parvenir
- La réduction des activités au profit de la consommation
- La poursuite de consommation malgré les dégâts physiques et psychologiques engendrés
On dit de l’addiction qu’elle est faible si seulement 2 à 3 critères sont remplis, modérées si ce sont 4 à 5 critères, en revanche dès que l’on atteint 6 critères et plus, la situation est décrétée sévère.
Les produits Graine de Lascars vont bientôt sortir ! Si tu me connais un minimum, tu sais que je ne blague pas avec la qualité.
Rejoignez + de 3'000 inscrits pour être prévenu de la sortie des produits!
Votre e-mail sera utilisé seulement par Graine de Lascars. Vous pouvez lire ma Politique De Confidentialité.
Comment aider au sevrage et utiliser l’alternative du CBD ?
Arrêter les joints est un peu plus facile depuis la légalisation du CBD. En effet, nombreux sont les anciens consommateurs de cannabis qui se sont tournés vers le cannabidiol grâce au fait que cela soit légal et disponible en vente dans certains commerces et sur internet.
Au début, il est préférable de se tourner vers les fleurs de CBD qui peuvent aider à recréer les rituels. On peut ensuite se tourner vers les huiles qui sont plus simples à consommer. Découvre les fondamentaux du CBD ici.
Si tu veux aider un proche, le mieux est de ne pas le juger, l’addiction est une pathologie, et non un choix. Après t’être renseigné, tu peux l’aider en lui suggérant l’alternative qu’est le CBD. Une thérapie comportementale, la participation à un groupe de soutien ou l’usage de médicaments peuvent aussi être positifs.
Huile 2.0
Les symptômes physiques et comportementaux sont nombreux, et certains peuvent être dus à une tout autre raison. Mais si l’on a un doute, il est important de se donner le temps pour en avoir le cœur net. Si la consommation est régulière ou pire, qu’il y a dépendance, cela peut engendrer de sérieux problèmes de santé et de socialisation.
Heureusement, il existe des alternatives légales et qui ne sont pas aussi risquées pour la santé. N’hésite pas à te renseigner sur le CBD.
Maxime Fossati
Fumeur de weed pendant + de 10 ans, j'ai switché pour le CBD. J'ai compilé tout ce que je sais pour vous. Que vous soyez newbie ou déjà dans le game, je suis là pour vous guider dans l'univers du CBD. 🌿 Check ça !"